‪ Quelle est réellement la Douma dans le district de la capitale syrienne qui a provoquée un tollé des publications negativés à cause des récents raids aeriens de l’armée syrienne? En effet, Douma s΄ est tranformée en un petit Afghanistan,qui constitue le cheval de Troie de la capitale. Il existe une mikro-pole, un mikro-état entier sous la ville actuele. Un complexe des tunnels souterrains labyrinthiques des plusieurs kilomètres s΄ étend au-dessous de la ville de Douma, un vrai quartier général des terroristes-fantomes qui ont à leur disposition d΄ éléctricité, des communications avancées, des depots d΄ armes de toute sorte, des appartements dédaliques qui sont vivables gràce aux systemes d΄ aération.La hauteur de cette construction souterraine peut atteindre 18 metres et la longueur à plusieurs kilometres. Des sorties de cette ville infernale sont innombrables et donnent accès à proximité ou dans Damas et la plupart du temps les soi disant rebelles, sautent et commencent à tirer à une distance convenable pour leurs projets criminels. Un système identique souterrain en Afghanistan, avec les copy rights d’Al-Qaïda et le savoir faire de Ben Laden dont le père était un ingenieur civil specialisé en ce genre de construction en Arabie Saoudite lui a donné la notoriété. Et c΄ est justement ce système de construction souterraine avec des conditions pour la survie des habitants dans les loges des tunnels qui ont consolidé Al Qaida. A Douma pendant presque trois ans les forces syriennes n΄ ont pu détecter et decouvrir que quelques itinéraires des labyritthes. Des perceuses hypermodernes creusent des tunnels et d΄ autres machines d΄ ingénierie compressent la terre soulevée si parfaitement qu΄ aucune trace ne soit laissée de la formation de ces complexes.

Les réseaux terroristes ont introduits massivement en Syrie des armes et des equipements de guerre et tout autre matériel nécessaire pour répandre la terreur sur la population . En utilisant au début des corrompus qui occupaient des postes près des frontiéres ou des agents de securité routiére et douaniére,ils payaient des sommes afin que leurs “marchandises” ne soient pas controllées pour éviter des taxes. C΄ est la fameuse “vente” d΄ une voie routiére pour une heure ou une demi heure. Pourtant suffisante pour faire passer en Syrie par voie maritime ou frontalière les premiers armements qui allaient donner une force aux terroristes. Apres tout est devenu plus facile. Ils ont commencé à s΄installer à des zones cruciales pour le futur du pays martyrisé.

DIFFICULTÉS POUR LA DESTRUCTION DES TUNNELS

Dans un article du Times of Israel en18 Juillet 2014, même l΄ état hebreu connu pour ses systémes de securité avancés déclare avoir rancontrer des difficultés pour la détection des tunnels du Hamas dont la profondeur arrivé jusqu’à 60 pieds et la longueur à1,5 klm avec des multiples complexes. Les Israélites remarquent que seulement si les méthodes de détection vont s΄ améliorer elles deviendront éfficaces. Par exemple, le général Edelstein, commandant de l’unité dans la bande de Gaza avait dit qu’il a découvert en Octobre 2013 un tunnel de Hamas qui donnait dans la cour d΄ une habitation à Rafah. Un autre général israelite Daniel Shimi, a déclaré en 2014 à la chaine 2 que les entrées des tunnels sont aussi dans les maisons des résidents et quand l’armée arrive ,les trouve fermées avec du ciment frais.Les soldats du Tsahal, spécialisés dans des operations antitunnel lorsqu΄ ils ont la chance de découvrir un tel reseau ils envoient d΄ abord des robots avec camera qui transmettent en haut les images d΄ en bas. Puis ils envoient des chiens dressés pour détecter des explosifs dans les tunnels.

C΄ est donc évident qu΄ à la fois la détéction et la destruction des tunnels n΄ est pas une tache facile pour l΄ armée syrienne qui n΄ avait jamais été une armée d΄ occupation et de repression. Un tunnel peut être frappé par le haut seulement si on lance une bombe d΄ un tonne pour pénétrer le béton armé.Pourtant méme avec cette attaque aérienne on n΄ arrive pas à dissoudre complètement le complexe souterrain. Cet objectif nécessite un équipement de forage lourd et plusieurs centaines de livres d’explosifs tout au long des voies multiples des tunnels. Cette opération est particulièrement dangereuse parce que les fumées des explosifs detonnés montent “au champ de bataille » qui est en réalité district habité. Les difficultés rencontrées de la part de l΄ armée syrienne dans cette guerre insidieuse et souterraine à la fois techniquement et strategiquement donnent juste un exemple des methodes utilisées par les reseaux terroristes, qui s΄ ajoutent à leurs habitudes traditionnelles de sauvagerie comme les décapitations, les massacres, les attentats suicides les enlèvements et toute autre barbarie inimaginable pour notre ère.

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